Mjr Magnus
Messages : 22 Date d'inscription : 02/12/2009 Localisation : Sur son cuirassé ou à la taverne
| Sujet: Pub JDR (Far Cry 2 - Les Flammes de l'Afrique) Ven 5 Fév - 18:14 | |
| L'Afrique est un continent sauvage, où la nature impose encore sa loi malgré la volonté des hommes. Ce territoire hostile subit la cupidité de l'Humanité depuis des décennies. Le Sud du Kenya est en proie à la guerre civile. Deux factions, l'APR et l'UFLL, luttent pour prendre le pouvoir. Des mercenaires et des entrepreneurs viennent du monde entier pour faire fortune au détriment de la population qui souffre, de la guerre mais aussi de la malaria. Les associations humanitaires, aidé par un réseau appelé la Résistance, cherche à apporter leur aide malgré le danger. Un homme observe ce conflit et attend son heure, tel un chacal...
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L’Afrique est un continent où règnent la famine, la maladie et la pauvreté. Ces trois fléaux découlent d’une des plus horribles inventions de l’Humanité : la guerre. Cette activité néfaste existe depuis les premiers jours de l’espèce humaine sur la Terre.
Le Kenya n’était pas épargné par cette tragédie. Le gouvernement du Président Mwai Kibaki était fragilisé par une opposition mené par le Dr Léon Gakumba et par Prosper Kouassi, un vieil ami d’enfance. Léon, qui venait d’une famille assez aisée, était doué pour les études et partit les poursuivre aux Etats-Unis grâce à l’argent que sa famille avait accumulé durant des années. Prosper préférait travaillait avec ses mains et aimait bien trop son pays pour le quitter, même durant quelques années. Il erra dans des champs et dans des usines pour gagner sa vie, il se fit alors une idée alarmiste des conditions de travail qu’enduraient les Kenyans. Quand les deux amis se retrouvèrent, ils se mirent d’accord pour renverser le régime et relever la nation aux yeux du monde. Ils accusèrent alors le chef du gouvernement d’être corrompu et de livrer les richesses du Kenya à des puissances étrangères. De plus, une grande partie de la population vivait bien en-dessous du seuil de pauvreté, l’hygiène était exécrable même dans les villes et la nourriture était de mauvaise qualité. Le peuple criait son mécontentement. Profitant de cette crise, Kouassi et Gakumba réunirent suffisamment de partisans pour écarter Mwai Kibaki, en particulier auprès des paysans et des quelques ouvriers du pays, appelés par Kouassi. De son côté, Gakumba contacta quelques amis haut-placés en Amérique pour rassembler l’argent nécessaire à une révolution et fit appel à un mercenaire hollandais, Hector Voorhees, pour former et conduire leur armée révolutionnaire. Cet homme était dans le mercenariat depuis une vingtaine d’années et possédait une grande expérience du commandement pour avoir diriger plusieurs équipes de mercenaires par le passé. Les révolutionnaires contactèrent un des plus importants trafiquants d’armes du continent pour se fournir en armement efficace. Nul ne connaissait sa véritable identité, mais on le nommait le Chacal. Il livra des centaines de caisses d’armes à ses clients à des intervalles réguliers. Durant plusieurs mois, les opposants se dissimulaient dans la nature pour se préparer au combat. Les autorités du pays tentaient pourtant d’enrailler cette rébellion, avec l’aide de certaines nations occidentales. Elles souhaitaient principalement conserver les accords passés avec le Président et qu’ils risqueraient de perdre avec le nouveau gouvernement. Des troupes professionnelles avaient été déployées pour veiller au maintien de l’ordre. Mais un beau jour, alors que le soleil s’élevait au-dessus de la savane, les rebelles lancèrent l’assaut sur des villes importantes dans le sud du Kenya, notamment Mosate Selao et Pala. Les militaires basées sur place résistèrent durant quelques heures, puis cédèrent sous le poids du nombre. Enfin…c’était ce que l’on pensait…mais une enquête démontra qu’un capitaine du 75e Régiment de Rangers américains, nommé Nick Greaves, avait déserté son poste pour rejoindre les opposants et avait fourni des informations sensibles à propos des forces en présence. Les raisons qui ont motivé cette désertion demeurent encore inconnues de nos jours. Les troupes régulières du Kenya et leurs alliés internationaux furent alors bousculés en dehors des régions de Leboa-Sako et Bowa-Seko. Le gouvernement officiel abandonna ces territoires entre les mains de Gakumba et de Kouassi.
Seulement, le vide laissé par les autorités kenyanes tardait à se combler. Le chaos s’installa sur les terres conquises par les rebelles. La main d’œuvre nécessaire au travail agricole avait été recrutée par la milice et les réserves de nourriture atteignaient des niveaux dangereusement bas. Les habitants, pris de panique, se battaient pour la moindre bouchée de pain. Les pillages et les agressions se succédaient à un rythme effréné ; les quelques officiers de police restés dans leurs fonctions pour aider la population ne parvenaient pas à contenir cette violence. Les milices n’intervenaient pas et s’assuraient uniquement que les familles n’émigraient pas vers les villes encore sous le contrôle du Président Kibaki. Elles étaient généreusement entretenues par les deux chefs de la révolution et obéissaient à leurs ordres sans discuter. D’ailleurs, ces derniers ne tombaient pas d’accord sur le régime politique à adopter. Gakumba préconisait un gouvernement calqué sur une démocratie, avec une économie ouverte sur le marché mondial, mais Kouassi désirait un système socialiste où les richesses appartiendraient au peuple de façon équitable et dirigé par un gouvernement fort. Les deux meneurs polémiquèrent pendant des jours à ce sujet, puis ils voulurent imposer leur volonté autrement. Chacun de leur côté, ils réunirent les opposants fidèles à leurs idées et firent une nouvelle fois appel au Chacal pour s’équiper en matériel militaire. Découvrant une affaire rentable, il livra les deux belligérants sans état d’âme et on le croisa de plus en plus souvent dans la région. Néanmoins, on ne savait toujours rien sur lui, seul l’argent semblait l’intéresser. Finalement, les hostilités furent déclenchées. Les anciens amis, devenus ennemis, lancèrent alors toutes leurs forces dans cette nouvelle bataille. Les miliciens, précédemment alliés pour un même but, s’entretuaient maintenant dans la plus grande bestiale. Les civils étaient les premières victimes de ce combat fratricide, les deux camps massacraient les populations qui adhéraient aux idées de l’adversaire, qui cherchaient à fuir la guerre ou qui luttaient contre les deux partis. Deux factions émergèrent de cette guerre civile, l’Union du Front pour la Libération et le Labeur créé par Léon Gakumba, avec les compétences d’Hector Voorhees qu’il connaissait depuis des années, et l’Alliance pour le Peuple et la Résistance fondé par Prosper Kouassi, aidé par Nick Greaves qui voyait en cette occasion son nouvel emploi. Dans le plus grand secret, des civils indignés par les horreurs perpétrés par les deux groupes et lassés de ce conflit, montèrent un réseau de résistance pour venir en aide aux innocents. Ce réseau, appelé la Résistance, était l’œuvre du Père Maliya, qui officiait dans l’église de Pala, et avec l’aide de quelques associations humanitaires tentant d’apporter leurs soutiens dans la région. Une femme, le Dr Catherine Sielly, assuraient la liaison entre la Résistance et les associations ; elle était également chargée de fournir une assistance médicale auprès des résistants. Les deux factions, affaiblies par les pertes humaines, firent rapidement appel au mercenariat étranger pour se réapprovisionner en hommes. Ainsi, le sud du Kenya fut envahi par des groupes de mercenaires en quelques semaines. Un de ses membres, Mike Girand, un ancien gaulois de la Légion Etrangère française à la retraite, fut gravement blessé lors d’une fusillade et laissé pour mort. Il fut recueilli, par hasard, par la Résistance et amené sur la table d’opération du Dr Sielly. A son réveil, les deux êtres tombèrent amoureux l’un de l’autre, mais quand Girand lui proposa de quitter l’Afrique pour fonder une famille, celle-ci refusa. Elle ne voulait pas abandonner la tâche qu’on lui avait confiée. Alors le Français dépensa le peu d’argent qui lui restait pour établir un bar à l’extérieur de la ville afin de vivre près de Catherine et de lui donner des coups de mains à l’occasion, et surtout pour faire quelques économies pour l’avenir. Le premier client qui pénétra dans son établissement fut le Chacal, à son grand étonnement. Ce dernier referma la porte derrière lui et personne ne sut ce qu’ils se dirent tous les deux pendant des heures. Le Chacal repartit et le lendemain, le bar était bondé de consommateurs. Cependant, à l’extérieur, l’UFLL et l’APR était prêt à reprendre le combat avec acharnement.
La situation prenant beaucoup trop d’ampleur, l’ONU négocia avec les deux groupes, mais n’obtint des deux dirigeants que des accords de cessez-le-feu sur certains sites. Heureusement, cela calma quelque peu les tensions et une guerre ouverte n’était plus envisagée par Kouassi et Gakumba. Cela permit à des entrepreneurs de s’installer dans la région et d’essayer de faire du profit au milieu de cette crise. Ils amenèrent avec eux d’autres mercenaires, indépendantistes cette fois-ci, avec des contrats divers et variés. Ces indépendantistes s’habituèrent aussitôt au bar de Mike qu’ils fréquentèrent avec avidité, probablement parce qu’il était tenu par un ancien du métier. Ce conflit n’avait pas échappé aux médias, mais seul un journaliste, Jawaad Reuben, avait pris le risque de vivre sur place durant des semaines pour rédiger son article sur la souffrance du peuple. Son enquête le mena vers les deux factions, également vers la Résistance et même auprès du Chacal en personne.
Et quelque part dans la nature hostile de l’Afrique, un homme erre en solitaire, accomplissant un dessein mystérieux dont lui seul en connaissait la mesure. Cet homme, on l’appelait le Chacal…
Incarnez un mercenaire indépendantiste ou à la solde d'une des factions, jouez le rôle d'un partisan dévoué, soyez un étranger sans scrupule ou guidé par de bonnes intentions, vivez la vie d'un civil innocent pris dans cet enfer. Essayez de prendre le pouvoir dans cette région du Kenya...ou de rétablir la paix et la sécurité pour tous. Tentez votre chance sur ce continent où les hommes sont redevenu des bêtes et où la malaria n'attend qu'un signe de faiblesse de votre part pour abréger votre vie. | |
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srick RPiste en Chef
Messages : 1647 Date d'inscription : 02/12/2009 Age : 32 Localisation : gamma
| Sujet: Re: Pub JDR (Far Cry 2 - Les Flammes de l'Afrique) Ven 5 Fév - 20:43 | |
| si je comprend bien c'est que du RP sur le forum ? sinon jolie présentation | |
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Mjr Magnus
Messages : 22 Date d'inscription : 02/12/2009 Localisation : Sur son cuirassé ou à la taverne
| Sujet: Re: Pub JDR (Far Cry 2 - Les Flammes de l'Afrique) Ven 5 Fév - 20:46 | |
| Oui bien-sûr. Ce n'est pas un forum pour discuter du jeu ou s'échanger des astuces. Enfin, je ne vous empêcherais pas de le faire dans la zone Hors-jeu, mais l'intérêt principal, c'est de faire du jeu de rôle.
Et merci du compliment. | |
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| Sujet: Re: Pub JDR (Far Cry 2 - Les Flammes de l'Afrique) | |
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